Edito

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vendredi 20 septembre 2024

Aioun entre le passé et le présent

 


Je viens de rentrer à Nouakchott après un séjour à Aioun, la ville mes origines. Ce séjour m’a permis de renouer avec cette ville merveilleuse, avec ses honorables habitants et de replonger dans son passé, un passé plein de beaux souvenirs. J’ai rencontré les cadres, les notables, les personnes-ressources et les personnes qui ont beaucoup contribué au rayonnement et au développement de la ville. J’ai visité les sites historiques comme Gleib Inimich, Tombomba, El Makhrougatt, Legleita, Agnatir, El Berbouchya, Bou Demgha, et d’autres lieux non moins célébres.

 

A l’issue de ma tournée et au vu de ce que j’ai constaté à Aioun, je félicite les jeunes qui ont réhabilité et conservé ce riche patrimoine historique. Grace à eux, la ville est devenue une destination touristique très prisée. Mes félicitations vont à tous ces jeunes et particulièrement le jeune Mokhtar Ould Ghouyzi. Après constat, je suis arrivé à la conclusion que la relève sera bien assurée par ces jeunes.

 

Enfin, j’adresse mes félicitations et mes remerciements au jeune Mokhtar Ould Ghoueyzi et ses amis pour la planification, l’organisation et la réussite du Festival d’Aioun. De l’avis des observateurs, ce festival est le meilleur festival qu’a connu le pays pour sa qualité artistique et culturelle, pour le nombre et la qualité des participants, pour ses retombées économiques sur les populations et pour les perspectives qu’il ouvre pour la ville et ses habitants.

 Noureddine Sidi Aly François





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